COMMUNIQUE DE PRESSE
La Granite Mont Lozère : dédicace aux odeurs des forêts Cévenoles !
Communiqué du 11/10/2002
Il y a tout juste un mois, à l'issue de la Cycl'Aigoual à Meyrueis, nous avions croisé 3 cyclistes enthousiates résidant dans la région Lyonnaise, qui venaient de découvrir les paysages Cévenols. La rugosité du parcours n'étant pas d'actualité, ils s'étaient alors informés avec précisions sur la Granite Mont Lozère supposant qu'il s'agirait bien là d'une très bonne occasion pour terminer cette saison 2002 riche en découvertes et en exploits sportifs.
Eh bien, parole tenue puisque nous nous sommes à nouveau retrouvés, terminant un délicieux repas préparé par un chef renommé, qui pour la circonstance, a mis son talent au service d'une organisation sportive des plus conviviales, où le participant anonyme éprouve un plaisir non dissimulé tout en manifestant sa satisfaction par l'intermédiaire d'un questionnaire judicieux qui permettra d'améliorer ici et là certains détails, dans le souci d'être encore plus accueillants et d'assurer à cette belle épreuve un avenir à succès.
Bravo mesdames et messieurs les organisateurs, vous nous avez régalé et vous nous faites là un délicieux cadeau pour tous ces mois en bre qui commencent, synonymes d'un vélo plus solitaire où les odeurs n'auront certes pas les mêmes attraits.
Ainsi, entre les km 130 et 145 seul sur les pentes du Mas de la Barque, préoccupé par des histoires de braquets et de soif, me réfugiant dans ces parfums subtils à l'ivresse, oubliant alors les hectomètres transformés en kilomètres par un effet magique qui m'a porté jusqu'au sommet, n'ayant plus alors qu'à me laisser descendre à Villefort pour un réconfort culinaire devenu rare à l'époque des clubs sandwiches "Sodhexo".
Un mot cependant sur ce parcours où être en forme n'était pas une valeur superflue, car le départ "à froid" pour une première escalade du Mas de la Barque demandait un plein d'énergie, une escapade dans les vallons nous permit ensuite de franchir le Col de Finiel aux environs de midi, découvrant ce versant sud du mont Lozère en mutation de couleurs, plein soleil et appétit d'efforts encore non satisfait.
Un vrai bonheur !
Eh bien, parole tenue puisque nous nous sommes à nouveau retrouvés, terminant un délicieux repas préparé par un chef renommé, qui pour la circonstance, a mis son talent au service d'une organisation sportive des plus conviviales, où le participant anonyme éprouve un plaisir non dissimulé tout en manifestant sa satisfaction par l'intermédiaire d'un questionnaire judicieux qui permettra d'améliorer ici et là certains détails, dans le souci d'être encore plus accueillants et d'assurer à cette belle épreuve un avenir à succès.
Bravo mesdames et messieurs les organisateurs, vous nous avez régalé et vous nous faites là un délicieux cadeau pour tous ces mois en bre qui commencent, synonymes d'un vélo plus solitaire où les odeurs n'auront certes pas les mêmes attraits.
Ainsi, entre les km 130 et 145 seul sur les pentes du Mas de la Barque, préoccupé par des histoires de braquets et de soif, me réfugiant dans ces parfums subtils à l'ivresse, oubliant alors les hectomètres transformés en kilomètres par un effet magique qui m'a porté jusqu'au sommet, n'ayant plus alors qu'à me laisser descendre à Villefort pour un réconfort culinaire devenu rare à l'époque des clubs sandwiches "Sodhexo".
Un mot cependant sur ce parcours où être en forme n'était pas une valeur superflue, car le départ "à froid" pour une première escalade du Mas de la Barque demandait un plein d'énergie, une escapade dans les vallons nous permit ensuite de franchir le Col de Finiel aux environs de midi, découvrant ce versant sud du mont Lozère en mutation de couleurs, plein soleil et appétit d'efforts encore non satisfait.
Un vrai bonheur !
