COMMUNIQUE DE PRESSE


La FIC puissance 4 : toujours plus de patineurs !
Communiqué du 13/11/2004


Après quatre années d’existence, la French Inline Cup continue de grandir. Avec un nombre de participants encore en hausse, la série française des marathons se développe également quant à ses rendez-vous : la FIC Classe 2 a vu le jour cette année, avec le Marathon de l’Oise et Nîmes en Roller. Ce sont des « marches » qui permettront peut-être d’agrandir le calendrier et la géographie de l’événement. Réponses en 2005…

Mais auparavant, revenons sur cette saison. De mai à octobre, … patineurs ont pris part aux manches de la French Inline Cup. Les effectifs ne cessent de grandir. « Notre objectif est de créer un réseau de manifestations ouvertes au plus grand nombre au niveau régional » explique Arnaud Gicquel, le maître d’orchestre de la FIC. Développer les courses populaires où tout le monde peut s’exprimer sur les rollers, en plus d’élargir la géographie de l’événement - aux quatre coins de la France – permettra en effet de consolider les bases des marathons en roller et de faire connaître notre sport.

2004 : une année ensoleillée pour la FIC. Des routes exigeantes de l’Oise en mai aux routes… exigeantes de la Vendée en octobre, pas une seule goutte d’eau n’est tombée sur un participant (ou une participante !) de la French Inline Cup ! Tant mieux : les spectateurs se massaient pour voir passer à toute vitesse les patineurs à Lille ou à Nice, à Rennes ou à Pontarlier. Et les patineurs, eux, ont pu s’en donner à cœur joie sur les 42 kilomètres qui leur étaient ouverts.

2004 : une année importante en ce qui concerne l’organisation. Par rapport à 2003, les organisateurs ont en effet clarifié les problèmes de catégories en créant deux « divisions » : les catégories de niveau tout d’abord (Elites et Nationaux), les catégories d’âge ensuite (Vétérans 1 et 2, Seniors et Juniors). Reste maintenant à clarifier les systèmes de montée et de descente d’une catégorie à l’autre.

2004 : une année médiatique pour le roller. Le partenariat avec Sport + s’inscrit dans la durée pour la deuxième année consécutive. La chaîne du câble et du satellite a en effet diffusé quatre étapes (13 minutes pour chacune). Cette reconnaissance médiatique est importante dans le sens où elle permet de laisser une trace visible des exploits des patineurs…

Il reste encore des progrès à faire pour que la formule gagne en efficacité et fédère un plus grand nombre d’adeptes. Mais d’ores et déjà, les organisateurs planchent sur la chose. La FIC a de toute façon pour vocation d’attirer le plus grand nombre, des compétiteurs aux débutants. Les objectifs sont de développer l’écho médiatique de l’événement et d’ouvrir au maximum les épreuves aux randonneurs. Et enfin, l’année prochaine, de nouvelles étapes verront le jour, comme par exemple celle de Rouen… Et espérons-le, de Paris !

Vincent Esnault.